« Attend ! » Des pas précipités, un souffle saccadé, des miaulements et deux masses brune se suivant a quelques mètres d’intervalle. Dans les couloirs le petit garçon brun riait, bousculant quelques personnes en lancent des « Pardons » qu’il avait peine à articuler. Le chat le distancer mais Eledorl connaissait les corridors de la Citadelle. Il prit un autre croisement que l’animal. Un petit détour qui aurait du n’être rien, mais lors se qu’il entra en collision avec se qui lui sembla être un mûr, les choses furent tout autrement. Tombant à terre dans un gémissement qui trahis sa douleur, l’enfant ouvrit les yeux pour voir que ce n’était pas un mur qui était à l’origine de sa chute, mais un roi. Qui plus est, passablement énervé, et sous son regard rude comme le fer, le petit garçon avait la sensation de le liquéfier. Le souverain détourna rapidement le regard. Le contournant, grognant des paroles que le garçon n’oublia jamais. « Nous aurions dû t’égorger à la naissance. » Terroriser, l’enfant resta allonger sur le sol, tremblant.

Se souvenir il l’avait gardé, au plus profond de son être. Cacher derrière la rancune, il y avais cette colère d’avoir vécu dans le mensonge et le mépris. Ces mots, terrible, l’ont hanté toute son enfance. Rien n’était plus abominable pour un enfant qu’une vie d’imposture. Isildur Telcontar, roi des régions unifié, seigneur du Gondor n’était pas son père, comment autant il pu? Cette homme le regardé comme une nécrose a éradiqué. Pourtant c’était cela qu’il devait faire croire. Ce mensonge affreux qui l’éloigner toujours un peu plus de son vrais père. Eledorl comprenait les enjeux. Il avait mit longtemps, mais a présent tout était clair dans son esprit. Seulement, enfant il avait était si souvent offenser par les discutions qu’il entendait dans les couloirs. On disait que sa mère était une catin, son père avait était bien bon de le gardé dans les murs de la Citadelle. Il n’était qu’un bâtard parmi tans d’autre et qu’avoir était choisi était un privilège dont il devait être éternellement reconnaissant. Combien de fois avait-il pleuré dans les bras de sa mère ? Sa vrais mère. Celle que le monde ignoré être capable d’enfanté. Ellinde Telcontar, la reine que l’on disait stérile. Tans de fois elle l’avait consolé, jusqu’à se qu’il comprenne le mal qu’il lui faisait en venant ainsi au près d’elle chercher le réconfort. Eledorl grandit rapidement, peut être plus vite que la plupart des enfants du Gondor car sa vie n’était pas simple. A huit printemps à peine, son univers était bien compliqué. Sa mère était la reine, mais il ne devait l’appeler mère sous aucun prétexte, du moins quand ils n’étaient pas seul. Non quand ils étaient entouré elle était sa reine, et rien d’autre. Son père, qui n’était pas son père était le roi. Quand on lui posé la question il devait répondre qu’il était Eledorl fils bâtard d’Isildur. Voilas quel était son titre au yeux du monde. Un cauchemar qui n’avait aucune fin. Une torture d’esprit qui aurait pu le rendre fou.

Ellinde semblait tellement souffrir de cette situation. Jamais Eledorl ne posa une seule question, plu jamais après cette âge il ne vins au près d’elle le coeur lourd de doute et de douleur. Plus il grandissait et plus il comprenait les enjeux. Sa mère lui eut tout révélé quand il eux dix ans. Tout sauf le nom de son père. Il n’osa jamais posé la question, ne prennent que ce qu’elle lui donner, comme elle le lui donner. Ses intentions n’avait jamais était d’être source de douleur pour sa mère. Il l’était déjà de par sa naissance. Il ne servait à rien d’en rajouté. Toute son enfances il n’eut de cesses que de la rendre fière, de la faire sourire ou rire. Il aurait voulu mieux prendre soin d’elle, il aurait voulu qu’elle soit heureuse, mais bien qu’elle lui cache, il voyait bien le malheur qui l’habiter. Dans son esprit un fils devait prendre soin de sa mère. Il grandit avec cette certitude. Il serait le fils que chaque mère rêverait d’avoir. Pour elle, il ferait tout.

Le peuple savait qu’il était proche de la reine. Il était de notoriété publique qu’elle s’occuper de lui avec la tendresse d’une mère. On l’admirait pour la dévotion qu’elle offrait au « bâtard » de son époux. Ce fut sa seule consolation, pouvoir vivre au près de sa mère sans s’inquiéter des jugements. Bien qu’il entendait souvent qu’il était ingrat de profité de la bienveillance d’Ellinde, lui erreur de la nature. L’idée qu’il n’aurait jamais du être était graver dans son coeur, tel une marque au fer rouge. Qu’importe, cela ne l’empêcher pas de vivre le plus possible heureux. Entre l’instruction que lui donner sa mère, et ses classes chez les soldats. Le garçon devin petit homme, intelligent, bien fait. Son désir n’était que de rendre sa mère heureuse et guérir ses blessures. Pourtant il n’eut pu réfréner ses doutes et sa curiosité. Il avait eu un père, cela semblait évidant et bien que sa mère soit évasive a se sujet, il avait une idée sur qui cela put être. Il était bien un Telcontar, le sang qui couler dans ses veines était celui des rois, il leur ressemblé trop pour que cela en soi autrement. Comme tous le lui disait souvent, il ressemblé trait pour trait à son oncle lors ce qu’il avait son âge. Isilthiel ne pouvait être seulement son oncle, il ne pouvait le croire. Plus Eledorl y penser et plus cela devenait évidant. Tout affirmés cette hypothèse. Le bâtard, l’était peut être, mais pas d’une catin où d’un homme de passage. Eledorl avait le souhait de retrouvé son père, de s’assuré qu’il n’avait pas tord, mais comment dire cela a sa mère? Elle en mourrait.

« Eledorl tu rêve mon garçon ! » Le jeune homme leva les yeux pour les posé sur son maitre d’arme qui baissa son épée, se rendant compte que si il attaquer cela serait déloyal, son adversaire l’ayant quitter de puis un moment, préférant ses tourments que le combat. « Ressaisi toi. Que t’arrive-il ? » Eledorl laissa échapper un soupire, rangeant son épée. Il n’avait pas le coeur a se battre aujourd’hui. Il n’aurait su dire pourquoi, il était mélancolique de puis le matin et ce sentiment ne voulait pas le quitter. La main ferme de Calimehtar se posa sur son épaule, ses yeux marron captant les sien corbeaux. « Quelque chose te tracasse fils ? » Eledorl aurait voulu pouvoir tout dire a son maitre. Il aurait souhaité ne pas être seul a porté se fardeaux, avoir quelqu’un a qui se confier, car il ne pouvait le faire avec sa mère, risquant de lui faire du mal. Seulement cela était impossible. Calimehtar était un ami, il lui avait tout appris sûr l’art du combat d’épée. Il était son professeur, son maitre, son compagnon. Il fut plus un père que n’importe qui a la Citadelle. Seulement lui parlé, c’était trahir sa parole, trahir sa mère, risquer bien pire que le déshonneur. Eledorl secoua la tête, signifiant que ce n’était rien. Il avait toujours fait cela. Quand il n’allait pas bien, quand il sentait l’ombre l’emporté dans son esprit il venait se battre avec les soldats ou aux près de maitres d’armes. Ce fut ainsi qu’il passa la moitié de son enfance arme a la main, fuyant allègrement sa mère jusqu’à se qu’elle craque et le face amener de force jusqu’à elle. Se jour là ne fit pas exception, malgré son âge. Il avait eut 16 ans déjà, son destin devait se tracer et tout lui était incertain, mais une chose était sûr : il voulait être homme digne du nom qui aurait dû être le sien. Le combat repris entre Eledorl et Calimehtar, mais celui-ci sembla remarquer que son jeune élève était une nouvelle fois partit loin de lui. La raison était simple, il le dominer. Si bien que rapidement le garçon fini a terre, l’épée émousser au bord de la gorge. « Eh bien. Si tu parlait. » L’aidant a se relevé, Eledorl, une fois sur ses deux jambes soupira. « Calimehtar, j’aimerai devenir chevalier. » Les yeux du maitre s’écarquillerais un instant, avant qu’un sourire ne vienne souligner sa moustache. Il s’approcha et l’enlaça comme le faisait les homme, avec force, lui frappent sans compter le dos, faisant rire Eledorl qui cacher sa douleur. « Pourquoi cette tête fils ? Tu est certainement le meilleur apprentie que j’ai eux ces dernières années ! » « Ici je suis un enfant de p*ta*n. Je doit partir pour faire met preuve. » La tristesse dans sa voix trahissait ses sentiments. Calimehtar compris, lui tapotant gentiment la joue, pour le réconforté, souriant toujours. « Alors part Eleldorl. Rien en te retiens ici. Ton père se moque bien de ta vie. Et ne me dit pas qu’une donzelle est a l’origine de se regard ! Se ne son pas les femmes qui vont nous empêcher de vivre, un petit. » Eledorl grimaça un sourire. « Non, tu à raison. » Il n’eut pouvait s’empêcher de penser à sa mère. Il lui crénerait le coeur si il la quitter. Elle vivrait très mal cette séparation, alors il était entré sous un doute immense. Devait-il partir quitte à la faire mourrir de chagrin, ou alors gardé pour lui ses ambitions et rester aux près d’elle, quitte a amputé une part de lui même… « Aller en garde, gamin ! »